Parmi mes lectures de l'été. San Antonio, Jean Mazarin, James Hadley Chase
"Des clientes pour la morgue", (pour les spécialistes dans l"édition du 4ème trimestre 1965). Le commissaire San Antonio est toujours en service, même lorsqu'il participe a une réception donnée en l'honneur d'un ami Bérurier. Voulant échapper à la chansonnette entamée par Béru, il descend aux toilettes et assiste à une étrande scène. Un homme y pénétre avec un sac assez volumineux, ce qui est pour le moins surprenant fait-il remarquer, et lorsqu'il en voit ressortir une dame âgée delestée des son paquet, son instinct de policier va le conduire à essayer de percer ce mystère! Du San Antonio
Une citation .
Et mon épitaphe, je la vois d'ici… « Il est mort comme il a vécu : comme un gland ! »
"La bombe et la sagaie" Emmanuel Errer série noire .
Une histoire bien construite qui se lit bien où l'on découvre sans mauvais jeux de mots que "Tout n'est pas noir, tout n'est pas blanc" dans les années qui ont suivi la décolonisation, même si l'histoire se passe dans un pays imaginaire le Bwasa. De mauvais esprits, à la lecture de ce polar, ne pourrontt s'empêcher de faire le parallèle avec certains événements passés voire récents.... Mais le Bwasa n'existe pas!
Beauregard, ex-colonel chez les « Affreux », allait enlver un Président africain, pour faire plaisir à une des ces fameuses sociétés multi-nationales qui, comme tout le monde le sait, n'ont pour but que le progrès et le bien-être de l'univers. Un complot pépère , réussite garantie sur facture. C'était compter sans l'Afrique et ses grenouillages. Les grenouilleurs n'étant pas nécessairement des Africains.
Un deuxième Jean Mazarin
"Sondages sur la mort" Jean Mazarin Spécial Police. Un polar qui se laisse lire facilement
Un sondage d'opinion, ce n'est pas méchant, surtout quand il s'agit de déterminer les mérites comparés de différentes lessives, et pourtant Jean-Marie Collenot, enquêteur de son état, est retrouvé mort après avoir interviewé certaines personnes habitant une rue tranquille du 14e arrondissement.
Lucien Poirel, l'enfant terrible de la P.J., va se trouver alors confronté non seulement avec des suspects, ce dont il a l'habitude, mais aussi avec les «cow-boys» de la brigade anti-gangs qui, le doigt sur la détente, traquent un dangereux bandit évadé de prison.
Ça va tirailler dru autour de Poirel, qui sera entraîné malgré lui dans des fusillades dignes du Chicago de la grande époque alors que, comme dirait Shakespeare : «Tout ça, finalement, c'est beaucoup de bruit pour rien.»
"Pas de mentalité (The world in my pocket)" de James Hadley Chase série noire. "Le monde dans ma poche" ou pourquoi pas "Pas de mentalité' illustrent bien l'intrigue. Du polar noir classique. On ne tourne pas autour du pot, il s'agit pour un groupe de petits truands, qui a toujours décidé de leurs coups à l'unanimité, de prendre la décision de réaliser eou non un grosse affaire, ; le coup de leur vie. Certains sont hésitants, jugeant l'affaire au dessus de leur moyen. Mais une cinquième personne, à l'origine du projet, va intégrer le gourpe et les convaincre d'y participer. Difficile de poser le livre avant d'avoir tourné la dernière page. Je vais continuer à explorer les premiers romans publiés dans cette série
C'était le roi des fourgons blindés, inentamable, imprenable, un vrai défi aux rêves insensés des aigrefins en mal d'oseille. Un cube d'acier à roulettes qui décourage le casseur le plus astucieux, une forteresse ambulante, qui écoeure le braqueur le plus audacieux.
Pour l'ouvrir, il faut connaître le Sésame qui donne accès au trésor.
Mais l'Aladin de cette aventure n'est pas un magicien dépositaire des secrets de l'Orient, c'est une belle gosse brune qui a de l'imagination.
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